La France fut une pionnière avec la loi 2017-399 du 27 mars 2017 relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneurs d’ordre : les entreprises françaises de plus de 5 000 salariés sont tenues de rendre compte de leurs mécanismes d'identification et d’alerte sur les risques de travail forcé. Si elles ne parviennent pas à démontrer qu'elles ont établi et mis en œuvre un plan, elles s'exposent à une amende pouvant aller jusqu'à 10 millions d'euros, mais pouvant atteindre 30 millions d'euros si ce manquement a donné lieu à des dommages.

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